La base d’un immeuble basse consommation, c’est son architecture. La construction doit être favorable aux nouvelles énergies, et capable de proposer une structure adaptée aux installations. La démarche d’une architecture bioclimatique, par exemple, basée sur l’orientation de l’immeuble, permet au bâtiment de gérer son exposition. C’est le cas de l’ensemble Hikari ou encore d’Hélianthe, à Confluence, et de Convergence, à Lyon Perrache.
L’isolation thermique et l’étanchéité du bâtiment sont aussi des critères essentiels à la régulation de la consommation énergétique. Elles passent par la pose de fenêtres pariéto-dynamiques, d’isolant extérieur comme des briques de polystyrène, ou encore de boîtiers d’encastrement étanches. Les systèmes de chauffage choisis jouent pour beaucoup dans la consommation d’un immeuble. Chaudières à condensation, pompes à chaleur, chauffage solaire, chaudière à cogénération… autant de méthodes qui permettent aux constructions d’économiser jusqu’à 40% d’énergie.
L’aspect structurel d’un bâtiment à basse consommation énergétique doit s’accompagner d’innovations technologiques. Eclairage LED, ou encore systèmes automatisés, les installations doivent être intelligentes. Le Terralta, à Lyon Part-Dieu, possède un éclairage autonome, capable de s’adapter automatiquement en fonction du moment de la journée, et des conditions météorologiques. L’ensemble Seven, à Lyon Gerland, offre aussi des prestations uniques et adaptées à un mode de travail écologique. Chauffage et stores automatisés, la domotique est aujourd’hui, plus que jamais, au service du développement durable.