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Brice Robert Arthur Loyd tient tête à la crise

En revanche, Brice Robert Arthur Loyd et les professionnels de l’immobilier d’entreprise anticipent une déferlante de changements profonds dans la façon de travailler au sein des TPE, PME, ETI et grands groupes, laquelle va bouleverser leur demande immobilière. « Le télétravail, on le sait, a connu un essor phénoménal et booste, dans son sillage de nouvelles façons d’occuper l’espace professionnel et d’organiser les flux de personnels. La demande des entreprises ne sera bientôt plus celle que nous connaissions, en termes de surfaces et d’organisation des volumes », souligne Jean-Pascal Denys, président de Brice Robert Arthur Loyd.

Aux côtés de ses clients pour les guider dans leurs recherches de bureaux, de locaux d’activité, de commerces, pour leurs investissements et leurs besoins en analyses et études, Brice Robert Arthur Loyd s’est fixé pour objectif de continuer à développer ses parts de marché en misant sur les compétences de son équipe pluridisciplinaire pour accompagner, fidéliser et assurer le suivi de sa clientèle. Dans un écosystème chahuté, Brice Robert Arthur Loyd annonce maintenir l’ensemble de son équipe pour préserver sa position de leader, la qualité de son service et son expertise. « Nous poursuivrons également notre transformation digitale, essentielle pour le développement de nos activités dans les années à venir », annonce Jean-Pascal Denys.

Marché du tertiaire

Le marché des bureaux n’a pas surpris en ce troisième trimestre, avec un déficit de transactions d’importance, exception faite des 18 170 m2 livrés à Enedis à Gerland. Après une année 2019 exceptionnelle du fait de quelques opérations remarquables, le 3eme trimestre 2020 s’est révélé conforme aux attentes avec 161 550 m2 placés (-50 %) pour 308 transactions (-30%).

Brice Robert Arthur Loyd avait anticipé ce recul (les transactions portant sur les surfaces importantes sont identifiées 1 à 2 ans avant la signature) et, au final, 2020 devrait se terminer sur plus de 200 000 m2 placés, soit une surface inférieure de 20 % à la moyenne enregistrée pendant les dix années précédentes.

Les dernières opérations confirment Gerland et la Part Dieu parmi les secteurs les plus en vue. Ainsi Gerland concentre 22 % de part de marché en volume grâce notamment à la transaction Enedis qui tire le secteur vers le haut. Distancié (13 % des transactions), le quartier de la Part Dieu totalise 40 signatures dont une de 6 800 m2 placés par la Métropole. Enfin, Villeurbanne-Tonkin capte 10 % des volumes après la décision du Cesi de se rapprocher de la Doua dans un immeuble de 5 000 m2. En ces temps si particuliers, le marché reste très sain avec une offre disponible restreinte (le stock à un an s’établit à 500 000 m2), un taux de vacance de 4 % et des prix stables. Les occupants sont certes avides de mesures d’accompagnement (franchises de loyers), mais les prix sont maintenus.

Sur ce marché non spéculatif, on peut d’ores et déjà affirmer que les prix ne baisseront pas, intra muros. Stabilité également du segment des petites et moyennes surfaces versus celui des surfaces supérieures à 1 000 m2, plus tendu du fait de la crise sanitaire. On notera toutefois les livraisons 2020 les plus significatives, celles du Kbis (8 000 m2 sur le Carré de Soie), du ParkView (25 000 m2 à quelques encablures de la Part Dieu) ou encore des Jardins du Lou (18 000 m2 au pied du Matmut Stadium). En attendant, en 2021, la livraison de près de 60 000 m2 au travers de Gravity, Silex 2, Eklaa, Basalt , Work #1, Part-Dieu Central et des Ateliers Du Faubourg.

 

PARLER D’AVENIR : CE QUE NOUS AVONS APPRIS DE LA CRISE SANITAIRE 

L’irruption du Covid 19 a modifié brutalement nos façons de travailler avec une montée en puissance inattendue et brutale du télétravail. Lequel joue les prolongations au sein des organisations, par choix et/ou par nécessité. Redistribuant les cartes au sein des entreprises… comme chez les acteurs de l’immobilier. D’une part les grandes entreprises mènent une réflexion de fond sur le télétravail qui les conduirait à occuper des surfaces en moyenne 20 % moins importantes avec des salariés absents des locaux 1 ou 2 jours par semaine. Celles qui misent sur le « présentiel » sont contraintes de repenser l’occupation de l’espace, notamment des open spaces dans des conditions particulières : espace de 4 m2/personne, cloisonnements… Ces bouleversements devraient consacrer le coworking qui, adossé au télé-travail devient incontournable mais reste coûteux, ainsi que le desk sharing (bureaux partagés et non plus attitrés), option parfois critiquée mais qui trouve un nouvel élan dans ce contexte de crise sanitaire. Quelles que soient leurs options, les entreprises n’ont plus les mêmes critères de recherche, en quête de plus de souplesse aux niveaux des surfaces, de leurs aménagements et même des baux : vu le manque de visibilité, les gros preneurs négocieront la flexibilité pour une partie des surfaces louées, par exemple. Devant tant de bouleversements et d’incertitudes, les investisseurs ne financent plus d’immeubles en blanc, les utilisateurs n’investissent plus et les négociations s’étirent dans le temps. Quant aux entreprises qui prévoyaient une implantation sur la métropole lyonnaise, 15 % d’entre elles ont ajourné leur projet » explique Maryse Cadegros, directrice générale.

MARCHE DES LOCAUX D’ACTIVITES

Si le marché des bureaux est sans surprise en retrait, celui des locaux d’activité démontre sa résilience avec 261 735 m2 placés au 3ème trimestre, en recul de seulement 2% alors que rien n’a été signé pendant deux mois, tandis que le nombre des transactions s’établit à 240 (291 au 3ème trimestre 2019). Des performances qui confortent Lyon dans sa position de premier marché régional français concentrant près de 20 % du volume national (1 300 000 m2) et témoignent de la diversité et du dynamisme du tissu économique de la métropole. L’offre disponible immédiatement est, elle, en recul. Elle s’élève à 370 000 m2 (contre 440 000 m2 l’an passé à la même époque), soit de quoi absorber la demande d’une année d’activité. Sur ce marché, le segment des surfaces supérieures à 3 000 m2 surperforme et s’apprécie de 30 % par rapport à la moyenne, signe de la vitalité et du développement des PME de bonne taille. Géographiquement parlant, les locaux implantés à proximité et à l’Est de Lyon sont les plus prisés et concentrent près de la moitié des transactions (47 %), devant le Sud, le Nord-Isère puis le sud-ouest lyonnais et les extérieurs.

 PARLER D’AVENIR AU TEMPS DU COVID

 Le marché des locaux d’activité ne faiblit pas et l’année devrait s’achever sur 340 000, voire 350 000 m2 placés. Un indice rassurant quant à la capacité des nos clients à adapter leurs modes de travail et de production aux contraintes liées à l’épidémie en mettant en œuvre les mesures sanitaires de protection au sein de leurs entreprises. Compte tenu de la résistance de ce marché, Brice Robert Arthur Loyd reste confiant dans ses perspectives de flux sur les petites, moyennes et grandes surfaces, d’autant que l’offre reste rare, dans le foncier disponible comme dans le bâti.

 MARCHE DES INVESTISSEMENTS

 Depuis le début de l’année 2020, quelque 700 M€ ont été investis dans l’immobilier professionnel à Lyon. Dernière opération de taille signée dans la Métropole en ce début octobre, l’acquisition en VEFA par UnofiGestion d’Actifs des 20 000 m2 de l’immeuble New-Age, à proximité de la Part-Dieu. On estime que l’année devrait se terminer sur un montant d’investissement voisin de 1 Md€, dans la moyenne annuelle enregistrée ces dix dernières années, exception faite du montant exceptionnel de 2,2 Md€ constaté en 2019. Il est à noter que le taux de rendement prime (rentabilité la plus basse observée au cours d'une période donnée pour l'acquisition d'un immeuble d'excellente qualité, dans l'une des meilleures localisations du marché, loué aux conditions du marché, et de taille standard par rapport à la demande locale) reste inférieur à 4 %. On observe que les investisseurs, toujours à l’affût, redoublent de prudence, particulièrement attentifs à sécuriser leurs acquisitions. Brice Robert Arthur Loyd réaffirme sa confiance dans le marché lyonnais et notamment dans les opportunités d’opérations de taille moyenne qu’il présente aux investisseurs.

 A PROPOS DE BRICE ROBERT ARTHUR LOYD

 Avec 40 ans de présence au niveau national et notamment sur le périmètre rhodanien, la société Brice Robert Arthur Loyd s’affiche aujourd’hui en pole position sur le marché de l’immobilier d’entreprise sur la métropole. Ce groupe lyonnais, spécialisé dans le conseil en immobilier d’entreprise, assure la réalisation de transactions immobilières, montages d’opérations, investissements en matière de locaux industriels et logistique, bureaux et commerces. Brice Robert Arthur Loyd affiche son fort positionnement sur l’offre immobilière dédiée aux entreprises sur la métropole. Depuis 1992, la société́ Brice Robert est associé au réseau national Arthur Loyd. Cette intégration contribue significativement au développement de la société́ et donne un nouvel élan à sa dynamique commerciale. Cette organisation en réseau favorise le développement d’échanges d’informations et de services entre chaque ville et encourage également le travail en équipe, un élément au cœur de la philosophie des agences Arthur Loyd.

Depuis Janvier 2018, Jean Pascal DENYS, est le nouveau président de Brice Robert Arthur Loyd. Il a succédé́ à Brice Robert, fondateur de l’entreprise éponyme. Maryse CADEGROS est directrice générale.


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